MaiOasis

Une ferme pilote, autonome, agrobiologique à but social et solidaire sur l’île de Maio au Cap Vert

Votre don ouvre un droit à 66% des sommes
versées en crédit d’impôts

 

La vie m’a amené ici, au Cap-Vert, au cœur de l’Atlantique. Par hasard ?
Par intuition ? Je ne saurais le dire… Mon objectif : transmettre par l’exemple
Partout où je me suis tourné, j’ai rencontré le scepticisme.
En France, au Cap-Vert, peu croyaient en ce projet.
Et pourtant, face à l’incrédulité, j’ai persisté.
J’ai vu dans ce désert un défi, un laboratoire, car si l’on peut vaincre la sécheresse ici,
on peut le faire partout.
À l’ombre de l’Europe : j’ai décidé de montrer que l’eau, cette ressource vitale, peut être maîtrisée, catalysée et cultivée grâce à un mariage de savoirs faire ancestraux et moderne.
Je déploie ici une vingtaine de techniques, un arsenal contre l’aridité.
Et déjà, grâce à mon expérience et un travail acharné avec mon équipe,
le résultat est là… en quinze mois à peine, les premiers signes d’espoir bourgeonnent.
La nature revit, et avec elle, une lueur se dessine pour l’avenir.
L’exemple, c’est le cœur de ce projet. Plus qu’une lutte contre la sécheresse,
c’est une démonstration que la connaissance et l’action peuvent devenir un symbole d’espoir.
Ma mission : sortir Maio de son marasme, offrir des clés et un modèle reproductible
pour les défis de demain.
Chaque goutte compte, et votre contribution est précieuse. Comme le colibri de la légende,
apportez votre goutte à ce projet.
Ensemble, apprenons à cultiver l’eau et faisons de cette oasis un véritable symbole de résilience.
Raphaël

Quand le féminin soutien la sensibilité de la terre.
Ce projet d’oasis à Maio a démarré dans le dénuement du désert, où peu de choses sont disponible.
J’ai eu l’impression d’être au commencement du monde, et peu à peu, la terre en dormance s’est laissée féconder. Ce rapport à la puissance du principe féminin a été marqué par la résilience des femmes de Maio qui font face aux pires épreuves pour que la vie continue. La force de ces femmes m’évoque cette puissance instinctive aux sources de la vie. Leur démarche plantureuse, leur port de tête avec des charges le plus souvent, très lourdes, me font penser aux déesses mères du néolithique et à l’Afrique, notre terre originelle. Alors, quand elles m’ont demandé d’être le parrain de l’association Saint Joseph qui maintient la culture ancestrale : battuca, repas traditionnels, danses, je n’ai pas pu refuser. C’est avec elles que nous ferons à nouveau, main dans la main des jardins nourriciers.
Raphaël

Notre équipe

 

Raphaël Colicci

Directeur

Jean-Luc Gauthier

Assistant Director

Diza

l’équipe